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Dr Benjamin Ascher portrait
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The medical aesthetic injectable summit

Avec le Dr Benjamin Ascher

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"Rejoignez les leaders des produits injectables"

Dr Benjamin Ascher

Benjamin Ascher, MD, est un chirurgien plasticien certifié, membre des sociétés françaises, américaines et internationales de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique (SOFCPRE, SOFCEP, ASPS, ISAPS).

Il a été Chef Résident, Assistant des Hôpitaux de Paris et Président et Chef de la Clinique de Chirurgie Esthétique IENA à Paris - France.

Il est le Fondateur et Président de :
La société IMCAS, leader mondial des conférences médicales (Paris, Bangkok, Bali, Cancun, Cartagena, Mumbai, Goa, Shanghai), traitant de l’interface entre la Chirurgie Plastique, la Dermatologie Cosmétique et la Médecine Esthétique.
La société ThinkIn : leader des cours pratiques VIP dédiés à l’Anatomie, aux Traitements mini-invasifs en direct, au Simulateur d’Injection et de Fils, et à l’Ultrasonographie pour les Injections.
Il est membre du comité de rédaction international de l’Aesthetic Surgery Journal (ASJ), rédacteur en chef de la section de l’Aesthetic Plastic Surgery Journal (APSJ) et membre du comité de rédaction du Journal of Cosmetic and Laser Therapy, ainsi qu’auteur de 200 articles originaux publiés dans des revues de référence, ainsi que d’articles de synthèse.

Il travaille beaucoup dans la recherche et les études cliniques liées aux procédures chirurgicales et médicales esthétiques (toxines, produits de comblement, anatomie, ultrasonographie, médecine régénérative, lasers et appareils à base d’énergie pour le resserrement de la peau et la lipolyse, fils, greffe de graisse, lifting du visage et des paupières).

Qu’est-ce que The Medical Aesthetic Injectable Summit (MAIS) et en quoi se distingue-t-il des autres événements dans le domaine de l’esthétique médicale ?

Le Medical Aesthetic Injectable Summit se distingue en étant spécifiquement dédié à l’ecosystème des injectables dans le domaine de l’esthétique médicale. Cette spécificité lui confère une importance particulière, mais ce n’est pas l’élément central de ce sommet. L’essence même de ce rassemblement réside dans son caractère inédit et son objectif de promouvoir l’acquisition de connaissances économiques et scientifiques de très haut niveau alliée à un puissant networking, distinct des évènements et de la logistique des congrès majeurs qui réunissent les plus grandes populations de notre profession comme l’IMCAS.

Un autre aspect fondamental est son orientation résolument pratique. Grâce aux moyens déployés, ce sommet offre une opportunité exceptionnelle de mise en pratique, de networking, et de prise de rendezvous sur une période de 48 heures, ce qui en fait un événement véritablement unique en son genre.

Enfin, ce qui distingue vraiment le MAIS, c’est l’aspect « business et science » : le Summit couvre tous les processus par lesquels passe un produit injectable (de la recherche clinique à la réglementation) avant d’arriver dans les cliniques. Il présente également les nouveautés innovantes des start-ups et les produits en cours de développement.

À qui s’adresse principalement le MAIS et quels sont les principaux objectifs de cet événement ?

L’originalité de ce sommet réside dans la diversité des trois populations ciblées, contrairement aux congrès traditionnels qui accueillent une audience homogène. La première population concerne les médecins, leaders dans leur domaine, dont le rôle principal est la vulgarisation. Ils ne sont pas les créateurs des produits, mais les utilisateurs et les enseignants des techniques dérivées de ces produits.

La deuxième population est composée de PhDs travaillant dans les laboratoires de recherche, véritables inventeurs des brevets et créateurs de la majorité des produits essentiels dans le domaine des injectables, des toxines et des fillers. Ces chercheurs sont rarement présents dans nos congrès habituels.

La troisième population est une alliance entre les habituelles entreprises présentes dans ces événements et d’autres acteurs clés. Cette fois, les entreprises joueront un rôle différent en collaborant de manière pratique avec les régulateurs, les financiers (fonds, private equity, banques), les startups souhaitant attirer des investisseurs pour leur développement, ainsi que les distributeurs et experts en régulation.

Cette régulation sera abordée de manière inédite, avec des entreprises expliquant les défis spécifiques liés aux commissions européennes, américaines, chinoises et coréennes. De plus, une plateforme appelée Speed Matching sera lancée début septembre, permettant aux participants de s’identifier, de présenter leur biographie et de préciser leurs attentes, facilitant ainsi des interactions et des collaborations efficaces.

Quels sont les principaux thèmes qui seront abordés lors du MAIS cette année ?

Pour ce Medical Aesthetic Injectable Summit (MAIS), nous avons choisi de concentrer nos efforts sur les deux piliers majeurs que sont les toxines et les fillers.

En ce qui concerne les fillers, notre approche englobe une vaste gamme de produits, notamment l’acide hyaluronique, les fillers non basés sur l’acide hyaluronique, ainsi que tout ce qui relève de la médecine régénérative injectable, de l’intelligence artificielle et de la thérapie génique.

Cet ensemble constitue un microcosme d’informations et de données de très haut niveau. Le deuxième axe essentiel du sommet concerne l’information économique, fournie par des entreprises spécialisées en analyse de marché telles que BCG, Cetas HealthCare, Wall Street.

Pouvez-vous nous présenter les KOLs qui composent le Board et comment chacun contribue à la renommée de l’événement ?

L’originalité de cet événement réside dans son caractère multidisciplinaire, allant au-delà d’un simple rassemblement de médecins. Il a été conçu et organisé par quatre entités aux profils complémentaires et distincts.

Premièrement, nous avons un chirurgien plasticien, le Dr Ascher. Deuxièmement, une dermatologue de renommée internationale dans le domaine de la dermatologie esthétique et médicale, Marina Landau. Troisièmement, Humberto Antunes, ancien CEO de Galderma et actuellement à la tête du fonds Gore Range Capital, qui participera également au sommet. Enfin, Fauad Hassan, PhD et créateur de produits, reconnu pour avoir vendu une toxine à action rapide à ABBVIE, apportant ainsi une expertise approfondie dans le développement des toxines.

En complément de ce groupe, un important comité scientifique et économique, composé de divers experts, contribuera à l’élaboration du programme et à l’animation continue des différentes sessions.

Pouvez-vous nous en dire plus sur le concept très novateur de speed matching qui est prévu au sein du summit et comment cela va t-il bénéficier aux participants ?

Le concept de speed matching est inédit dans notre profession. Cette plateforme innovante repose sur l’utilisation d’algorithmes d’intelligence artificielle, facilitant grandement l’organisation des rendezvous. Grâce à ce système, les participants connaissent bien à l’avance la liste des personnes qu’ils rencontreront, optimisant ainsi les interactions et les échanges.

Le MAIS se concentre en partie sur les innovations disruptives en cours de développement ainsi que sur les applications de l’intelligence artificielle ; quels rôles jouera l’IA, selon vous, dans le progrès technique des injectables ?

D’une manière générale, aborder la question de l’IA implique de réfléchir aux défis qu’elle pose. L’IA représente une forme d’intelligence nettement supérieure à la nôtre. Le défi majeur est de déterminer comment la contrôler et garantir que les médecins ne soient pas dépassés, mais restent au cœur du développement. Ce défi est immense et concerne l’ensemble du secteur médical, incluant les chirurgiens plasticiens, les dermatologues, les médecins esthétiques, ainsi que nos domaines phares.

Nous devons considérer l’impact de l’IA sur toutes les applications utilisées avant, pendant et après les traitements, ainsi que sur la robotique liée aux interventions chirurgicales et, prochainement, aux injections. La simulation et la réalité augmentée, intégrées à l’IA, offrent d’excellentes opportunités pour renforcer les fonctions d’enseignement et fournir de nombreux atouts aux médecins, qui deviendront ainsi des «médecins augmentés».

Tous ces aspects seront abordés en gardant toujours à l’esprit le recentrage du débat sur le développement des injectables.

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